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Christine Angot
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Christine Angot L'Inceste «Christine Angot va gagner. Parce qu'elle ne risque pas de plaire. Elle va trop vite, trop fort, trop loin, elle bouscule les formes, les cadres, les codes, elle en demande trop au lecteur. Elle vient d'avoir quarante ans, elle écrit depuis quinze ans et, en huit livres (depuis 1990, car elle a mis quatre ans à faire publier son premier roman), elle a enjambé la niaiserie fin de siècle. Elle n'est pas humaniste, elle a fait exploser le réalisme, la pseudo-littérature consensuelle, provocante ou faussement étrange, pour poser la seule question, la plus dérangeante : quel est le rapport d'un écrivain à la réalité ?» Josyane Savigneau, Le Monde des livres.
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Si tout commence comme le récit de la vie sexuelle d'un couple, les parts d'ombre et les non-dits de C. Angot font planer un doute puis une angoisse quant à l'identité des personnages jusqu'à rendre l'atmosphère oppressante. Prix Sade 2012.
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Billy et Hélène se rencontrent à Paris.
Ils prennent un appartement dans le 15e et font plusieurs enfants.
Christine Angot entre dans cette intime régularité de la vie, celle des luttes sociales internes, celle des confrontations raciales, et celle enfin des mystères sexuels tacites. Où deux femmes sont en rivalité. Où deux êtres sont en guerre, qui prétendent pourtant s'aimer. Avec, entre eux, des « petits »
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Ce sont des hommes, des femmes, ils sont jeunes, vieux, ou entre deux âges, riches, puissants, pauvres, ou ni l'un ni l'autre, Christine Angot les passe, en radiologue du genre humain, à son laser, croisant leurs similitudes et leurs différences, perçant
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«Les anges ne sont pas tous blancs. Nous n'avons pas le sens de la gravité des choses. Anciens traumatisés pris entre enfance et éternité, nous n'avons pas la sensibilité d'en bas. En général, nos vues, entre ciel et terre, indisposent les humains. Qui n'aiment pas nos livres. Beaucoup trop froids. Ils supportent mal notre humour. Alors, je destine ce livre aux anges et à Dieu et ne souhaite à aucun mortel de l'ouvrir accidentellement.»
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Christine Angot Pourquoi le Brésil ?
« Pourquoi le Brésil ? Peut-être parce que c'est un pays dont toute la richesse est dans l'avenir, comme toi à qui le globe était destiné. » Pierre Angot.
Sa plus belle déclaration d'amour, c'est sûrement ce livre.
Le Monde.
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Elle rencontre un acteur.
Depuis cinq ans, il veut la connaître et disparaît quand il la voit. puis la rencontre se fait, elle écrit sur eux, l'amour est possible. mais l'écriture va-t-elle l'absorber ? commence une course-poursuite où nul ne lâche prise et où chacun, pris de vertige, ne sait plus où il en est entre sa passion pour l'art et sa passion pour la vie.
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Un homme, dans la dernière phase d'une maladie mortelle, est prostré sur un lit d'hôpital. Il ne doit cesser de penser, sous peine de mourir : «Un vide dans ma tête aurait l'effet d'une embolie.» Le père, la mère, des vieux dont il s'occupait, le personnel soignant se succèdent à son chevet ; les bruits du monde lui parviennent par la télévision, les bribes de conversation dans le couloir. Lui ne pense qu'à Muriel, sa femme.Un monde se reconstruit. Souvenirs, peurs, obsessions, délires remontent en désordre, là, devant nous, sur la page, sur l'écran d'une conscience bouleversée, portée à son point d'incandescence. L'homme parvenu à cet état limite est le maître d'un étrange ballet où les danseurs qu'il convoque sortent des coulisses de la mémoire, changent de partenaires et dansent avec les ombres. C'est l'instant où la vie et la mort se font face, se défient et s'enlacent, c'est l'instant où s'accouplent l'obscène et le sublime.
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Un homme, noir, et une femme, blanche, tombent amoureux l'un de l'autre.
Les sentiments ont la force de l'évidence mais aussi celle du défi: ils incarnent deux mondes qui ne se connaissent pas, ne se comprennent pas. La bourgeoisie environnante se moque de leur amour, le refuse, le nie. Et triomphera peut-être...
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Christine Angot
Peau d'âne
Qui ne se souvient de la malheureuse « Peau d'âne », l'héroïne du conte de Perrault mis en images par Jacques Demy dans un film devenu un classique oe
C'est l'histoire de cette jeune princesse en butte au désir amoureux du roi son père, que la romancière de L'Inceste considère ici à sa façon. La Peau d'âne de Christine Angot, petite fille, vit à Châteauroux avec sa mère - une « fille-mère », comme on dit alors. Lorsque le père fera irruption dans son monde, ce sera pour l'éveiller d'un baiser, comme une autre héroïne fameuse. Mais, loin de lui apporter l'amour d'un prince charmant, ce baiser la livre pour longtemps au malaise, à la hantise, aux interrogations, à une malédiction que symbolise le manteau de Peau d'âne.
Reproduit à la suite du récit, le conte originel ainsi confronté à une lecture nouvelle ouvre des perspectives troublantes sur les replis du coeur humain..
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François et Sylvie : un couple. Un couple avec enfants, une fille et un garçon.
François et Sylvie vivent ensemble depuis une quinzaine d'années. Ils sont tous les deux cinéastes. Ils s'aiment, ils s'aiment mal mais peut-être s'aimeront-ils toujours de ce même mal oe Sylvie fait de fréquents séjours en hôpital psychiatrique : elle est maniaco-dépressive. François, lui, n'est même pas dépressif, il ne s'aime pas, déprécie son travail, trouve que sa femme a bien plus de talent et de force que lui. Autour de ce couple, avec enfants donc, gravitent des personnages d'un Paris littéraire fraîchement célèbre, où chacun semble jouer sa partition. Chacun pour soi, oui, jamais personne ensemble.
François et Sylvie devront-ils se séparer pour apprendre à s'aimer davantage, mieux en tout cas ?
Ils sont manifestement les seuls à vivre et à faire ensemble. Au moins ce qu'ils peuvent. Qu'ils fassent ou défassent, l'attachement demeure. Comment se défaire d'un tel amour, voilà sans doute le sujet souterrain du nouveau roman de Christine Angot, Les désaxés, sa vraie nature aussi, et son aspect terriblement universel. Les désaxés, c'est nous tous : tant que nous ne saurons pas vivre, nous ne saurons pas aimer.
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"Cette fois, j'espère qu'on ne va pas me faire changer les noms, je ne dis rien de mal, je ne dis que la vérité, ce que je sais, ce qui est vrai. Et tellement sur tellement de gens, qui pourraient m'accuser, me porter au tribunal, à moins d'un regroupement, improbable, à moins d'une communauté, lâchons le mot, inavouable. Pas dans le sens de référence, mais le sens : vous ne devriez pas l'avouer que vous êtes une communauté de lâches."
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La peur du lendemain ; normalement
Christine Angot
- Stock
- Litterature Francaise Stock
- 7 Mars 2001
- 9782234052963
Un recueil composé de deux textes très différents : dans "la peur du lendemain" , christine angot décrit dans une sorte de mouvement perpétuel sa peur d'être tuée, sa peur que "ça s'arrête".
Ce sont des images, des souvenirs qui jaillissent dans "normalement", et qui suscitent des questions à l'infini. un texte dont le rythme est à la fois très tendu et envoûtant comme une mélopée.
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CORPS PLONGES DANS UN LIQUIDE
ANGOT CHRISTINE
- COMP'ACT
- JOURNEES D'AUTEURS (
- 4 Mai 2016
- 9782876610873
CORPS PLONGES DANS UN LIQUIDE
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CORPS PLONGES DANS UN LIQUIDE
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INTERVIEW