Henry David Thoreau
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La désobéissance civile
Henry David Thoreau
- Mille Et Une Nuits
- La Petite Collection
- 1 Juillet 1997
- 9782842050627
Poète, essayiste, mémorialiste, Thoreau est l'auteur de l'inoubliable "Walden ou la Vie dans les bois". Ptrès de cent cinquante ans après sa parution, "La Désobéissance civile" qui s'ouvre sur cette pensée toujours actuelle : "le meilleur gouvernement est celui qui gouverne le moins", demeure l'un des plus beaux pamphlets contre l'Etat qui, d'André Gide à la Beat Generation, a exercé une influence déterninante.
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La vie sans principe
Henry David Thoreau
- Mille Et Une Nuits
- La Petite Collection
- 8 Septembre 2004
- 9782842058524
« Pouvoir regarder le soleil se lever ou se coucher chaque jour, afin de nous relier à un phénomène universel, préserverait notre santé pour toujours. » Auteur de La Désobéissance civile, Henry David Thoreau prolonge sa pensée séditieuse dans La Vie sans principe (1863). Prenant l'exemple de sa propre vie, Il montre que les besoins matériels et les contingences quotidiennes sont dérisoires et qu'ils constituent une entrave à l'épanouissement de l'esprit. En exaltant l'individualisme et une certaine forme d'oisiveté dans la communion avec la nature, Thoreau nous invite à explorer les « provinces de l'imagination ».
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Walden ou la vie dans les bois
Henry David Thoreau
- GALLIMARD
- L'imaginaire
- 19 Septembre 1990
- 9782070715213
En plein XIX? siècle, dans le pays qui est en passe de devenir le plus industrialisé du monde, Thoreau tourne le dos à la civilisation et s'installe seul, dans les bois, à un mille de tout voisinage, dans une cabane qu'il a construite lui-même, au bord de l'étang de Walden, Massachusetts. Il ne doit plus sa vie qu'au travail de ses mains. C'est là qu'il commence à écrire Walden, grand classique de la littérature américaine, hymne épicurien, souvent loufoque, à la nature, aux saisons, aux plantes et aux bêtes, toutes choses et tous êtres qui ne sont, selon les propres dires de Thoreau, que «l'envers de ce qui est au-dedans de nous».
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« À quoi bon emprunter sans cesse le même vieux sentier ? Vous devez tracer des sentiers vers l'inconnu. Si je ne suis pas moi, qui le sera ? » Inspiré par Ralph Waldo Emerson et son Nature, Henry David Thoreau (1817-1906) quitte à vingt-huit ans sa ville natale pour aller vivre seul dans une forêt, près du lac Walden. Installé dans une cabane de 1845 à 1847, il ne marche pas moins de quatre heures par jour.
Pour l'auteur de la Désobéissance civile, farouchement épris de liberté, c'est bien dans la vie sauvage - sans contrainte - que réside la philosophie. Par cet éloge de la marche, exercice salutaire et libérateur, Thoreau fait l'apologie de la valeur suprême de l' individu. Conférence donnée en 1851, De la Marche constitue un bréviaire indispensable de l'éveil à soi par la communion avec la nature.
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"Quand j'écrivis les pages suivantes, ou plutôt en écrivis le principal, je vivais seul, dans les bois, à un mille de tout voisinage, en une maison que j'avais bâtie moi-même, au bord de l'Etang de Walden, à Concord, Massachusetts, et ne devais ma vie qu'au travail de mes mains. J'habitai là deux ans et deux mois. A présent me voici pour une fois encore de passage dans le monde civilisé."
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Résister à la tentation du laissez-faire, au réformisme et à l'esprit commercial des temps modernes
Henry David Thoreau
- Mille Et Une Nuits
- La Petite Collection
- 26 Octobre 2011
- 9782755506235
Sous ce titre sont regroupés plusieurs essais inédits de Henry David Thoreau, qui viennent compléter et prolonger sa théorie philosophique développée dans sa fameuse Désobéissance civile.
Thoreau, qui ne fut pas l'ermite dans les bois que la postérité voudrait voir en lui, mais un acteur des combats politiques de son temps, dénonce les risques d'un pacifisme passif, s'en prend aux conservateurs et réformateurs de tout poils et prône un engagement concret, parfois jusqu'au-boutiste, qui surprendra plus d'un de ses lecteurs. Bien qu'adepte d'un transcendantalisme individualiste, il n'a cessé de réfléchir à la façon d'améliorer la société et le gouvernement. -
« je suis simplement ce que je suis »
Henry David Thoreau
- Le Livre De Poche
- Le Livre De Poche Classiques
- 23 Octobre 2013
- 9782253163800
« Je me dis souvent : consacre-toi davantage à cette tâche si tu sais qu'elle est bonne. Ce n'est pas sans raison que tu es satisfait ou mécontent de toi. Ne possèdes-tu pas une faculté de penser des plus précieuses ? S'il y a une expérience que tu souhaites tenter, alors vas-y. Ne nourris pas de doutes s'ils ne te sont agréables. Rappelle-toi qu'il ne faut jamais manger sans avoir faim. [...] Ne t'attends pas à trouver les choses telles que tu crois qu'elles sont. Fais ce que personne d'autre que toi ne peut faire ; abstiens-toi de tout le reste. » H. D. T. Prônant une vie en harmonie avec la nature, à l'écart de la société, défenseur du droit à la liberté, opposant à l'esclavagisme, résistant non violent et chantre de la désobéissance civile, Henry David Thoreau fut un précurseur de bien des mouvements d'idées actuels. Tous les thèmes qui lui sont chers sont condensés dans ces lettres, qu'il adressa à son ami Harrison Blake entre 1848 et 1861, et qui constituent un véritable manifeste de sa pensée. A quoi sert une maison si l'on n'a pas une planète acceptable pour l'y installer ?
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Le paradis a (re)conquerir
Henry David Thoreau
- Mille Et Une Nuits
- La Petite Collection
- 11 Mai 2005
- 9782842059002
« Avec quelle rudesse et quelle brutalité traitons-nous la nature ! Ne pourrions-nous pas la travailler avec moins de négligence ? Après tout, n'est-ce pas ce que suggèrent toutes ces belles inventions - le magnétisme, le daguerréotype ou l'électricité? Ne pouvons-nous faire plus que couper et tailler la forêt, ne pouvons-nous contribuer à son économie intérieure, aider la circulation de la sève ? Mais nous travaillons aujourd'hui de façon superficielle et violente. Nous n'imaginons pas tout ce qui pourrait être fait pour améliorer notre relation à la nature animée, ni tous les bienfaits que nous pourrions en tirer.» Henry David Thoreau est considéré comme l'un des pères de l'écologie. En 1842, dans un article intitulé «Le Paradis à (re)conquérir », le jeune penseur critique les logiques industrielles qui se mettent en place à l'époque, et anticipe par là-même les travers de notre civilisation destructrice et matérialiste.
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Marcher ; une promenade en hiver
Henry David Thoreau
- Le Mot Et Le Reste
- 20 Novembre 2014
- 9782360541560
L'attitude de flâneur excentrique de Henry D. Thoreau était perçue comme provocation : il n'en avait cure parce la marche dans la nature était essentielle à sa liberté ; elle formait le coeur d'un art de vivre exigeant leurs heures de promenade chaque jour. Elle s'insérait dans son idéal de culture de soi. Marcher s'ouvre sur le ton du plaidoyer sente une lutte : marcher pour affirmer sa liberté d'homme, pour ancrer dans l'espace, fuire les villes et les clôtures et mieux penser le monde.
Une promenade en hiver est l'évocation nostalgique d'un paysage enneigé du Massachusetts, où la poésie se mêle de fines observations, dignes d'un naturaliste, sur le changement des saisons. La contemplation de l'hiver, loin d'être morne et triste, est source d'une vitalité cachée, stimulante pour l'esprit.
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Walden ou la vie dans les bois - - texte original et version francaise
Henry David Thoreau
- Aubier
- 8 Janvier 1992
- 9782700702781
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Balade d'hiver, couleurs d'automne
Henry David Thoreau
- Mille Et Une Nuits
- 12 Septembre 2007
- 9782755500288
Henry David Thoreau ne s'est jamais contenté d'admirer la Nature. Depuis sa retraite au milieu des bois, à Walden en 1845, jusqu'à ses longues promenades dans les forêts de la Nouvelle-Angleterre, il n'a eu de cesse de la parcourir. Jour après jour, il a scrupuleusement consigné dans son Journal, dont « Balade d'hiver » (1846) et « Couleurs d'automne » (1862) sont tirés, chaque détail observé au cours de ses excursions et la moindre variation du paysage.
Sensible aux saisons du déclin, périodes propres à la méditation, ce philosophe de la nature s'emploie à décrypter les signes d'une harmonie universelle au sein de laquelle l'homme doit trouver sa place.