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Albin Michel
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Oscar et la dame rose
Eric-Emmanuel Schmitt
- Albin Michel
- Domaine Francais Albin Michel
- 30 Octobre 2002
- 9782226135025
Voici les lettres adressées à Dieu par un enfant de dix ans. Elles ont été retrouvées par Mamie Rose, la « dame rose » qui vient lui rendre visite à l'hôpital pour enfants. Elles décrivent douze jours de la vie d'Oscar, douze jours cocasses et poétiques, douze jours pleins de personnages drôles et émouvants. Ces douze jours seront peut-être les douze derniers. Mais, grâce à Mamie Rose qui noue avec Oscar un très fort lien d'amour, ces douze jours deviendront légende.
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Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran
Eric-Emmanuel Schmitt
- Albin Michel
- Domaine Francais Albin Michel
- 13 Juin 2001
- 9782226126269
À Paris, dans les années soixante, Momo, un petit garçon juif de 12 ans, devient l'ami du vieil épicier arabe de la rue Bleue. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim, l'épicier, n'est pas arabe, la rue Bleue n'est pas bleue et l'enfant n'est peut-être pas juif.
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Le dieu du carnage
Yasmina Reza
- Albin Michel
- Domaine Francais Albin Michel
- 3 Janvier 2007
- 9782226173744
« On a voulu être sympathiques, on a acheté des tulipes, ma femme m'a déguisé en type de gauche, mais la vérité est que je n'ai aucun self-control, je suis un caractériel pur... » La pièce Le Dieu du carnage a été créée le 25 janvier 2008 au théâtre Antoine avec Isabelle Huppert, dans une mise en scène de l'auteur.« Une manière très moderne et très séduisante d'incarner comme aucune voix en France actuellement, les meilleures traditions de la littérature française. »Tilman Krause, Die Welt. « Brillantissime. On en ressort avec une tension élevée, en ayant ri aux larmes. »Christine Dossel, Suddeutsche Zeitung. « On peut prédire à cette pièce un destin triomphal. »Matthias Heine, Die Welt. « En trois mots : une pièce géniale. »Gerhard Stadelmaier, Frankfurter Allgemeine Zeitung. « Yasmina Reza s'élève au-dessus des genres. Comme Tchékhov, Wilde ou Schnitzler, elle campe sur le grand champ de bataille de la comédie. »Tagespiegel. « La quintessence de l'esprit de finesse. »Luc Ferry, LCI. « Elle en dit plus sur notre société que tous les graves essayistes de notre temps. Notre meilleur auteur de comédie contemporain. »Étienne de Montety, Le Figaro. « Extraordinaire dialoguiste, elle renoue ici avec la verve qui avait enthousiasmé les lecteurs d'Art. »Frank Nouchi, Le Monde. « Yasmina Reza sait saisir les secondes éternelles. »Marie-Laure Delorme, JDD. « À partir de situations somme toute banales de notre univers quotidien, elle parvient à monter des mayonnaises effrayantes, à transformer des gens civilisés en minables barbares, grâce à l'arme fatale des mots. »Marie Chaudey, La Vie. « Un huis-clos qui se lit comme un roman... Reza sait fort bien mettre le doigt là ou ça fait mal, mais aussi nous faire rire. »Femme Actuelle. « Envie d'une lecture courte, forte et acide, qui se dévore d'une traite ? Vous serez comblé par ce petit livre jouissif. »Psychologies. « Une explosive danse de mort au burlesque leitmotiv... Une lucidité ravageuse qui lie petite et grande histoire, philosophie et divertissement, Ionesco et Sarraute. Un électrique plaisir de lecture. »Fabienne Pascaud, Télérama. « Drôle et perfide. »Odile Quirot, Le Nouvel Observateur. « Très cruel et très drôle. »Jérôme Serri, L'Express. « Un acte de plus, et de plus en plus sec, dans son imparable drôlerie, à la grande comédie que Reza construit sur notre impuissance à aimer. »Gilles Costaz, Les Échos
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Chef-d'oeuvre absolu, Le Prophète est un des rares livres d'éternité qui serve notre méditation et donne un sens à notre vie. Cette nouvelle traduction restitue la vraie saveur du texte original.
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« La jeunesse est un talent, il faut des années pour l'acquérir. »
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Ils sont quatre, nés au Gour Noir, cette vallée coupée du monde, perdue au milieu des montagnes. Ils sont quatre, frères et soeur, soudés par un indéfectible lien.
Marc d'abord, qui ne cesse de lire en cachette.
Matthieu, qui entend penser les arbres.
Puis Mabel, à la beauté sauvage.
Et Luc, l'enfant tragique, qui sait parler aux grenouilles, aux cerfs et aux oiseaux, et caresse le rêve d'être un jour l'un des leurs.
Tous travaillent, comme leur père, leur grand-père avant eux et la ville entière, pour le propriétaire de la centrale, des carrières et du barrage, Joyce le tyran, l'animal à sang froid...
Dans une langue somptueuse et magnétique, Franck Bouysse, l'auteur de Né d'aucune femme, nous emporte au coeur de la légende du Gour Noir, et signe un roman aux allures de parabole sur la puissance de la nature et la promesse de l'insoumission.
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« La faim, c'est moi. »
Cette Biographie de la faim, de ce désir jamais rassasié, de cette quête qui n'a jamais de fin, Amélie Nothomb la décline sous toutes ses formes, du ravissement à l'horreur, avec brio, douleur, amour, humour et lucidité, pour dire ce terrible paradoxe d'exister. Il s'en dégage une puissance de vision, une perception fatale où l'absolu et sa dérision se côtoient. C'est une mise à nu éblouissante où l'auteur est le sujet de son oeuvre et qui prouve ô combien qu'Amélie Nothomb est un de nos grands auteurs contemporains. -
C'est la guerre et c'est l'hiver. Deux hommes et une femme sont terrés dans un appartement. Combien de jours leur reste-t-il à vivre ? En attendant, il n'est plus interdit de révéler ses vraies passions. L'amour, le désir, l'intelligence résistent-ils au froid ? A-t-on le droit de consumer ses dernières forces à lire de la mauvaise littérature ? Enfin, à l'heure du choix ultime, quel livre est assez important pour ne pas être mis à l'épreuve du feu ?
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Nos amis les humains
Bernard Werber
- Albin Michel
- Domaine Francais Albin Michel
- 1 Octobre 2003
- 9782226137937
- On est où là ? - Vous voyez bien. Dans une cage de verre. - Qu'est-ce qu'on fout là ? - Ça, si je le savais... Un homme et une femme se retrouvent prisonniers dans une cage, quelque part dans l'univers. Au-delà de la difficulté de se comprendre et de s'aimer, ils vont devoir résoudre une question cruciale : l'humanité mérite-t-elle d'être sauvée ? Après ses polars scientifiques et ses nouvelles fantastiques, Bernard Werber dévoile un nouvel aspect de son imaginaire dans un face-à-face plein de surprises et de suspense.
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Tu me bravais avec cette ridicule soif d'absolu qu'ont les gens de cet âge et je me disais, le petit est véhément à souhait, il sortira du lot. Mais tu n'es sorti de rien. Les vapeurs de jeunesse passées, tu as repris ta place dans la moyenne. Plus trace d'insurrection. Plus trace de vengeance. Tu as si vite craint pour ta peau, mon pauvre enfant. Comme la cohorte de tes amis les veules, tu sais que tout geste se paye, aussi as-tu choisi d'emblée de ne plus te signaler. Ecarter la souffrance, tel est votre horizon. Écarter la souffrance, vous tient lieu d'épopée.
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« Même si l'on m'assurait ce soir que j'ai tort, je refuserai le pari. Car si je perds, je ne perds rien. Mai si je gagne, je gagne tout. Et je nous fais tout gagner. »
Sur la colline des oliviers, quelques heures avant son arrestation, Jésus se demande comment il en est venu là. Est-il bien le Messie ? Trois jours plus tard, de son palais, Ponce Pilate mène l'enquête sur le cadavre qui a disparu de son tombeau. Même quand celui-ci réapparaît, vivant, Pilate tient à trouver une explication rationnelle des événements. Deux héros saisis par le doute. Deux héros dépassés par ce qui leur arrive.
En réécrivant mon roman L'Évangile selon Pilate pour la scène, j'ai taillé une version forte, brutale, urgente de ce récit. Si je l'ai appelé Mes Évangiles, c'est pour signifier que je n'y délivre aucune vérité, seulement ma vision très subjective des choses... N'avons-nous pas, tous, croyants ou incroyants, fabriqué un cinquième évangile ? Je préfère épaissir les mystères que les résoudre.
Eric-Emmanuel Schmitt
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"De toutes les secousses qu'a provoquées en moi la guerre du Golfe, la moindre ne fut pas que son déclenchement dépendît d'un faux témoignage, machiné par une agence de publicité et un ambassadeur, et transmis par CNN. Mais on ne le savait pas.
Révélé après la guerre, le remontage et le démontage de ce faux témoignage, dont on n'a pas parlé bien qu'il eût été révélé par un journaliste américain, prend ici la forme théâtrale. Dans la vie, les hommes ne parlent pas et les choses ne se passent pas toujours comme au théâtre.
Ce texte met bas les masques. Ce qui est dit ici reste d'habitude confiné dans les cabinets ministériels, surtout quand c'est secret, grotesque et cynique.
Voilà, telle que je l'ai restituée, la véridique et formidable mystification, cette vessie que même le président des Etats-Unis a pu prendre pour une lanterne éclairant le monde. Voilà comment la guerre du Golfe a pu commencer. Par une imposture."
J. R.
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Dans un train immobilisé en rase campagne entre Paris et Nantes à la suite d'un « incident de personne » (un suicide), un homme, qui revient de Chypre en ayant tout perdu, raconte sa vie à l'inconnue assise à côté de lui. Il lui parle de la nostalgie et de la mélancolie, évoque les fantômes de l'enfance, ponctuant son récit des vies de personnages magnifiques - le Japonais qui convainc les candidats au suicide de ne pas se jeter du haut des falaises, le Chypriote qui offre au narrateur la douille de la balle qui a servi à assassiner son frère.
Il raconte tranquillement, sans emphase, sans colère, et la jeune femme l'écoute, ne pose que de rares questions. Pendant ces heures d'attente dans la nuit, quelque chose se tisse entre eux. Mais bientôt, le train repart... Eric Pessan nous entraîne dans un roman intelligent, subtil, et d'une belle humanité. Le romancier ici nous parle de son propre chagrin en nous racontant « d'autres vies que la sienne ».
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Simon fait chaque nuit le même rêve dont une femme énigmatique lui livre la clef : il est la réincarnation de l'oncle de milarepa, le célèbre ermite tibétain du xie siècle, qui vouait à son neveu une haine inexpiable.
Pour sortir du cycle des renaissances, simon doit raconter l'histoire des deux hommes, s'identifiant à eux au point de mêler leur identité à la sienne. mais où commence le rêve, où finit le réel ? eric-emmanuel schmitt, dans cette pièce monologue qui est aussi un conte dans l'esprit du bouddhisme tibétain, poursuit son questionnement philosophique : la réalité existe-t-elle en dehors de la perception qu'on en a ?
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Qui aurait pu imaginer que cette élégante touriste anglaise visitant les sites historiques de la France était une pilleuse de trésors ? Dans les années 1830, la séduisante Emily Dingham écume nos provinces pour faire main basse sur les chefs-d'oeuvre laissés à l'abandon qu'elle revend à prix d'or à Londres. La belle aventurière séduit des adversaires d'envergure : le jeune écrivain Prosper Mérimée, fraîchement nommé inspecteur général des Monuments historiques et chargé de sauvegarder les oeuvres qu'elle pille, l'architecte Viollet-le-Duc, et même, le bouillant Victor Hugo, chantre des cathédrales gothiques.
Une vaste fresque, érudite et enlevée, à travers les bouleversements d'un XIXe siècle qui se découvre une passion pour le passé et voit naître les premiers grands chantiers de restauration monumentale, de Notre-Dame de Paris à Vézelay, du Pont-du-Gard à Carcassonne. Au coeur de ce passionnant roman historique, la confrontation inédite de deux pionniers, Mérimée et Hugo, qui, par des voies si différentes, joueront un rôle décisif dans le sauvetage du patrimoine culturel. -
Réflexion faite, Sylvie Janin ne se suicidera pas. Romancière en panne et malheureuse en amour, elle opte pour un séjour au bord de la mer, dans l´ancienne villa familiale, le temps de se réconcilier avec la vie et l´inspiration. Et si, par jeu ou par défi, elle louait les services d´un jardinier, intelligent et drôle de préférence ?
Bruno est encore mieux que prévu : brusque, attirant, insaisissable. Dans un roman, il ferait merveille. Pourquoi ne pas le transformer en personnage, le croquer vivant ? Ou même l´aimer, le faire souffrir, le posséder, au propre comme au figuré ?
Mais le garçon comprend vite les intentions de son séduisant bourreau. La proie sort ses griffes, la victime devient geôlier. Lequel de ces deux fauves de charme finira-t-il par dévorer l´autre ?